Séminaire Assomption Sup’
Venus des quatre coins de France, Bondy, Forges, Bordeaux, Chambéry, Lyon, les invités, professeurs et personnels, ont osé la rencontre, entre eux et avec les formations des différents campus Assomption Sup’.
Après le temps de quelques notes conviviales, la surprise passée de découvrir le nouveau logo d’Assomption Sup’, ce fut le moment d’accueillir le premier intervenant, Jean-Marc PETIT, délégué général de RenaSup (Réseau National d’Enseignement Supérieur Privé). Avant de donner des pistes de travail et de recherches pour adapter nos formations au paysage d’aujourd’hui, il a noté les évolutions majeures de l’enseignement supérieur, des quotas d’inscription jusqu’au BUT (Bachelor Universitaire de Technologies), en passant par la libéralisation de l’apprentissage.
Puis Sœur Amélie d’ABOVILLE, Religieuse de l’Assomption et professeur de Lettres à Lyon, a mis en lumière l’enseignement supérieur comme l’un des derniers paliers où nous pouvons former des femmes et des hommes de foi et d’action, comme aime le rappeler le PAEA, Projet Apostolique et Educatif de l’Assomption. Au-delà de la pastorale étudiante, on vise alors l’éducation transformatrice, expression Assomption du dernier congrès international d’éducation qui s’est tenu à Manille. Connaître le monde étudiant d’aujourd’hui pour lui offrir des espaces d’expériences, pour lui faire vivre des rencontres, pour lui donner la capacité à se laisser altérer par l’autre.
Transition toute trouvée pour écouter les présents du Campus de la Transition, installés à Forges (77). Sa présidente, Sœur Cécile RENOUARD, Religieuse de l’Assomption, a questionné la place de la transition écologique dans les programmes d’étude. En effet, elle s’appuie sur ses multiples expériences d’enseignement (Centre Sèvres, Ecole des Mines, Sciences Po, Essec) pour montrer combien il est urgent d’inventer un sens à cela pour nos étudiants, qui sont les entrepreneurs de demain.
Au chapelet de ces rencontres, il y eut enfin Véronique Le GONIDEC, Déléguée générale CAEC de Lyon, au sujet de la mise en place du réseau Excellence Pro académique. Une façon supplémentaire de préparer l’avenir, de faire réseau et d’être visible aux entreprises, grâce à une communication pérenne et dynamique.
C’est maintenant une évidence : s’arrêter un jour en séminaire Assomption Sup’ permet un élan renouvelé et le don d’un courage collectif. Paul Malartre l’écrivait en son temps , « Espérer en l’élève, c’est aimer son avenir ! ». Assomption Sup’ l’a affirmé tel quel en ce jour de rassemblement.
Anthony Odin - Délégué de tutelle Assomption